Les voyageurs doivent se conformer à un certain nombre de réglementations pour pouvoir visiter.
Le Chili, pays d'Amérique du Sud connu pour son vin et ses beaux paysages, prévoit de rouvrir aux touristes en décembre.
Les visiteurs devront prendre l'avion à l'aéroport international Arturo Merino Benítez de Santiago et présenter la preuve d'un test PCR COVID-19 négatif effectué dans les 72h suivant leur arrivée. Ils devront également fournir une déclaration de santé sous serment et un consentement à être contrôlés par l'application sur une base quotidienne.
Les passagers internationaux qui remplissent les conditions d'entrée au Chili ne seront pas mis en quarantaine et seront libres de se déplacer dans le pays, à condition de tenir les autorités informées de leur état de santé et de tout symptôme de coronavirus qu'ils pourraient présenter.
«Toutes les personnes qui entrent dans le pays, qu'elles soient chiliennes ou étrangères, seront soumises à une période de surveillance de 14 jours. Ils devront signaler leurs symptômes et leur localisation», a déclaré à La Tercera la sous-secrétaire à la santé publique du Chili, Paula Daza.
Mme Daza a indiqué à la publication que les visiteurs qui ne se conforment pas à cette mesure peuvent subir des conséquences, bien que l'on ne sache pas exactement lesquelles.
Cette application est toujours en cours de développement, a rapporté La Tercera.
Au Chili, les voyageurs devront respecter les couvre-feux nationaux et locaux, porter un masque dans toutes les zones urbaines et accepter que les restrictions puissent changer rapidement et perturber leurs projets de voyage.
Le Chili a fermé ses frontières aux voyages non essentiels en mars, alors que les pays du monde entier font de même pour endiguer la propagation du coronavirus à travers les frontières. Seuls les chiliens et les résidents ont pu entrer depuis lors.
Le Chili a jusqu'à présent signalé plus d'un demi-million de cas de COVID-19 et près de 15’000 décès. Les rapports ont atteint un sommet en juin, avec plus de 6000 cas par jour, mais ont depuis diminué à moins de 2000 par jour - un niveau qui, selon La Tercera, inquiète toujours certains experts. (MT)
Source: Travel + Leisure
Comments